En apercevant ce paysage derrière cette voie ferrée, on a envie et on ressent le besoin
de suivre ce chemin pour plonger dans cette toile.
Le plus merveilleux des coucher de soleil, pour moi. Devant, on avait l'impression du début d'une obscurité éternelle!
Comme si Râ mourrait.
La température ambiante nous réchauffais, mais les frissons et le froid dans le dos étaient tout de même présent.
C'était une magnifique frayeur et
une aquarelle unique.
Depuis des années, l'homme pratique cette randonnée vers ""l'Aiguille du midi", il
ne s'en ai jamais lassé. Une sensation de lutte interne pour arriver jusqu'au bout de ses forces.
"Ce chemin n'a jamais changé".
Après le travail de la terre, la prospérité règne sur le champs gouverné par l'olivier.
Ce paysage m'a tellement frappé que la pluie qui coulait à flot à cet instant se mêlait à mes larmes.
Malheureusement, sous la puissance des cordes, j'ai dû ranger mon objectif. La suite était à couper le souffle
lorsque les rayons du soleil traversaient les rayons de la pluie.
Un sublime mélange.
Sentiment de "LÂCHER PRISE".
Une frontière indissociable entre l'obscurité et la noirceur du terrestre, et la beauté
et virtuosité des cieux.
Photo d'un matin hivernal.
On ressent la fraicheur dans cette photo.
Rapprochement souhaité par l'homme entre les contrées paisibles et éloignées
et la civilisation industrielle dénaturée.